Il n’y a pas si longtemps, j’étais moi aussi dans ta position.
Je cherchais. Je tournais en rond avec cette sensation d’un truc bloqué.
Comme si quelque chose de fondamental m’échappait dans ma propre histoire.
Moi aussi, je continue mon chemin de réintégration.
Je me posais mille questions.
Je lisais, j’expérimentais, j’accumulais les outils.
Mais certaines choses ne se débloquaient pas, malgré tout ça.
Et puis, vers 16 ans, j’ai vécu ma première constellation. Depuis je n’ai jamais arrêté !
Ce moment où tout bascule
Je n’avais pas tout compris ce jour-là. A cette époque j’étais complètement à l’ouest.
Mais un représentant à travaillé pour moi, surement par Amour et par compassion.
Une partie de moi a compris.
Profondément.
J’avais vu des dynamiques invisibles se révéler devant moi.
Des douleurs héritées, transmises, portées sans même savoir pourquoi.
Et surtout : une place. Ma place.
Ce jour-là, j’ai senti que quelque chose venait de s’aligner.
Pas de manière magique, mais réelle.
C’est là que j’ai compris que cette approche pouvait être utile.
Pas seulement la mienne. Mais aussi celle des autres.
Alors j’ai posé des questions, j’ai continué, lu des livres et suivi des constellateurs aux quatre coins de la France.
Transmettre ce que j’ai reçu
Je ne suis pas devenu facilitateur tout de suite.
J’ai continué à explorer, à guérir, à apprendre pendant une quinzaine d’année.
Et à chaque fois, ce que je vivais dans les cercles me ramenait à plus d’essentiel, plus de justesse, plus de paix.
Alors un jour, j’ai su.
Ce que j’avais reçu, je voulais le transmettre.
Pas en tant que « guide » ou « expert ».
Mais juste pour partager mes mérites, les mérites de mon travail.
Aujourd’hui, quand j’ouvre un cercle, je ne sais jamais à l’avance ce qu’il va se passer.
Et c’est ça qui est beau.
Un espace de vérité, sans costume
Dans ces cercles, il n’y a pas de masque.
Pas besoin d’être parfait.
Juste être vrai.
Tu peux venir avec tes doutes, tes questions, ton ras-le-bol, ou ton envie de comprendre ce qui se rejoue encore et encore.
Tu peux venir en silence, ou poser une demande.
Tu peux observer, ou représenter.
Tu peux juste être là, et déjà, ça agit.
Je facilite ces cercles parce que j’ai vu ce que ça transforme.
Parce que j’ai vu des regards s’éclairer.
Des épaules se relâcher.
Des personnes retrouver leur propre voix.
Et ça… c’est un privilège immense.
Si un jour tu sens l’élan de vivre ça à ton tour, tu seras le·la bienvenu·e.
Et je serai là, simplement, pour t’accompagner.