Ce que j’entends à la fin d’un cercle…
« J’ai hésité. »
« J’avais peur que ça parte dans tous les sens. »
« J’étais même pas sûre de ce que je venais chercher… »
Et puis.
« J’ai pleuré. J’ai ri. J’ai compris. »
« J’ai senti un poids tomber. »
« J’ai retrouvé une place. »
Ces mots, je les entends souvent.
Et ils ne viennent pas de gens “illuminés”, “initiés” ou “thérapeutes confirmés”.
Ils viennent de toi, moi, ta voisine, ton cousin, cette collègue qui a tout compris sauf sa propre histoire.
Les constellations, c’est pas du théâtre : c’est la vraie vie
Tu ne viens pas pour jouer.
Tu viens pour traverser, regarder, sentir.
Et ça ne se passe jamais comme on imagine.
Il y a des silences, des secousses, des rires, des soupirs…
Mais surtout, il y a du vrai.
Pas de costumes. Pas de discours. Pas besoin d’y croire.
Juste ĂŞtre lĂ suffit Ă faire bouger quelque chose.
« J’ai failli annuler… »
Beaucoup me disent ça.
Parce que ça secoue. Parce qu’on a peur de ce qu’on va trouver.
Ou parce qu’on pense qu’on n’a “pas de vraie histoire”. Qu’on n’a pas “le droit” d’y aller.
Mais si tu ressens un appel — même flou, même timide — alors c’est peut-être ton moment.
Et si tu viens, tu n’es pas obligé de parler. Tu peux juste observer.
Et déjà , il se passe quelque chose.
Souvent, on me dit après :
« C’est comme si j’avais vu une pièce de mon puzzle que je n’avais jamais vue. »
C’est pas moi qui le dis. Ce sont les gens.
Des gens comme toi.
Qui doutent, qui cherchent, qui veulent respirer autrement.
Je pourrais t’en parler pendant des heures.
Mais le mieux, c’est d’entendre ceux qui l’ont vécu.
Je vais bientôt partager leurs témoignages (avec leur accord).
En attendant, je te transmets simplement leur Ă©nergie :
honnêteté, vulnérabilité, et soulagement.
Tu hésites encore ?
C’est normal.
Mais sache que beaucoup m’ont dit :
“Heureusement que j’ai osé.”